Lundi 27 juillet 2009
4e semaine
Il est 9h. On peut lire sur les visages le souvenir encore frais des trois derniers jours de mission. La séance de cours sur l’intelligence émotionnelle commence par un chant. En guise de prélude, les formatrices (Sr. Marta et Sr. Bienvenida) font avec la participation des apprenantes un résumé du cours précédent. Juste après, une vidéo intitulée Liderazgo de una homiga est projetée sous le regard attentif de spectatrices enthousiasmées. Parmi les caractéristiques d’un leader énumérées ensuite, nous pouvons citer : la persévérance, le courage, la capacité d’analyse et d’organisation du travail, le travail avec les autres, etc. Cette étape n’étant que préliminaire, l’on entre dans le vif du sujet grâce à un travail en groupe portant sur le leadership spirituel. Précisément, il était question de déchiffrer des articles écrits en espagnol, de les commenter, puis de remplir un mind-map relatif au thème général sus-cité. Il en ressort sept principales aptitudes à développer pour devenir comme Jésus un leader spirituel : la potentialisation, l’innovation et la rénovation, le dialogue, la vision, la sagesse émotionnelle, l’attitude adéquate ou « bonne attitude », l’espoir et l’intégrité. En espérant que cette leçon à bénéfice autant linguistique qu’interpersonnel a été bien assimilée, la séance se termine par un devoir à remettre jeudi sur les lettres de Madre Cecilia Cross, lequel consiste à établir un document Word afin de mettre en exergue le leadership spirituel de cette servante dévouée du Christ. Suite à une pause bien méritée, les aspirantes continuent leur PBL pendant que les postulantes et les jeunes professes étudient les constitutions respectivement sous l’égide de la Sr. Bienvenida et de la Sr. Marta. Il est 13h30mn, la cloche sonne pour le repas.
Dans l’après-midi, le groupe de formation s’attelle avec le même zèle à répondre aux questions : qu’est-ce qui peut causer le renfermement sur soi ? Quelles peuvent en être les conséquences ? En ce qui concerne la première question, les réponses étaient d’une part propres à l’affectivité de l’individu et d’autre part en relation avec l’éducation, la culture ou l’histoire. C’est ainsi que les maîtresses habiles réalisent la jonction avec une vidéo brève mais riche. Il s’agit d’un homme mûr et sage qui conseille un autre plutôt dispersé dans le choix d’un bouquet de fleurs. De là, l’on a pu mettre en évidence la nécessité d’un code accessible aux individus pour qu’il y ait communication. D’où le besoin d’aborder le savoir-vivre à Nazareth. Au terme de cette deuxième séance, les apprenantes ont pu assimiler différents aspects de la vie dans notre congrégation. Il ne leur reste plus qu’à confectionner un carnet sur le Savoir-vivre à Nazareth. Ainsi s’achève notre journée.
Le groupe de formation.
viernes, 31 de julio de 2009
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