jueves, 16 de julio de 2009

Mardi 14

Aujourd’hui 14 juillet, comme tous les jours, nous débutons la journée avec une belle célébration eucharistique. Les cours commencent à 09H avec la M. Montse qui continue de nous entretenir sur la résilience. Comme entrée en matière, elle nous a présenté un mini-film intitulé « la vie est injuste (et alors ?) » ensuite chaque groupe devait donner une métaphore de la résilience. Et de ces groupes il en ressort : la bougie d’anniversaire qui ne s’éteint pas, le phoenix qui se régénère, le ressort et le palmier qui résiste au vent.
Madre Montse a mis plus d’accent sur les attitudes fondamentales de la résilience. Il en existe trois qui doivent être combinées ensembles pour parvenir à la résilience. Il s’agit de:
1- l’optimisme:c’est avoir une vision positive du monde et une image positive de soi-même;
2- l’acceptation:elle se traduit par la patience, le fait d’accepter l’inévitable et de s’accepter soi-même;
3- l’orientation à la recherche des solutions, des alternatives.
Si nous parvenons à réaliser les deux 1ères, nous pourrons facilement aborder la troisième.
Ces entretiens étaient entrecoupés de petites questions de réflexion en groupe et dans le portfolio confectionné pour la circonstance.
Il est pratiquement 11H05 quand nous prenons la pause. De retour, M. Cécilia prend le relais et continue de nous entretenir sur la bible. Cette fois-ci avec quelques figures qui ont marqué l’histoire du peuple d’Israël. Nous avons:
DEBORA: prophétesse et juge (cf. Jg 4). Elle intervint au moment de l’installation du peuple à Canaan surtout dans le combat entre BARAQ et SISERA ; ainsi que dans le rassemblement des tribus d’Israël.
RUTH:moabite, la grand-mère de David. Avec elle, nous retenons qu’il faut apprendre à accueillir l’étranger. (Rt 1-4)
Notre après-midi est centré sur la troisième attitude fondamentale de la résilience avec la M. Montse qui part du rôle de chaque hémisphère du cerveau pour nous montrer que la résilience nécessite beaucoup la pensée ; c’est-à-dire pour faire fasse aux difficultés il faut prévoir plusieurs solutions et bien réfléchir avec d’agir. Nous terminons la journée avec des représentations scéniques (rôle playing) de situations de la vie religieuse en relation avec la résilience. Notre joie est grande lorsque nous nous séparons pour la prière du soir.

Le groupe de formation.

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